2010年9月7日星期二

Psychodrame à Neuilly ? AgoraVox le média citoyen

Rappelons que, le 30 septembre 2007, Nicolas Sarkozy était venu à Neuilly introniser David Martinon. Il avait annoncé qu’il s’engagerait derrière la liste menée par son porte-parole en lice pour la mairie de Neuilly. Sur sa liste figurait en bonne place Jean Sarkozy, le fils cadet de Nicolas. David Martinon avait même déclaré que, s’il devait choisir entre son engagement local et son poste à l’Elysée, «il donnerait la priorité aux Neuilléens»!


Tout allait presque pour le mieux, si ce n’était le coup de tonnerre dans le milieu neuilléen de ce sondage récent, qui rend plus difficile  la conquête de la mairie de Neuilly prévue par «le parachuté»! Selon ce sondage, David Martinon obtiendrait 40% de voix au premier tour des municipales contre 45% pour son rival divers droite: Jean-Christophe Fromantin, un chef d’entreprise de 45 ans (source JDD).
Aujourd’hui, dimanche 10 février 2008, s’est poursuivi le psychodrame sur le maintien ou non de la candidature de David Martinon. Ce dernier  a fait dire, ce matin par son directeur de campagne, qu’il  était toujours candidat à la tête de la liste UMP...
Donc,adidas original, la comédie continue, dans la famille du roi,christian louboutin pas cher, après le protégé,louboutin shoes, le fils!


Plus tard, dans la journée, les dirigeants neuilléens de l’UMP: Marie-Cécile Ménard et Arnaud Teullé, ainsi que le fils cadet de Nicolas Sarkozy ont annoncé dans un communiqué à l’AFP qu’ils «avaient décidé de conduire la liste de rassemblement» afin de faire cesser les divergences au sein de la majorité présidentielle à Neuilly. D’autre part, ils ont fait savoir qu’ils réfléchissaient à un «rapprochement» avec le principal challenger de M.Martinon (J.-C. Fromantin) pour garder à l’UMP la ville dont Nicolas Sarkozy a été élu maire de 1983 à 2002, haut la main!




Alors, David Martinon va-t-il abandonner?


Il semble bien qu’il soit poussé vers la sortie...


Neuilly, c’est cette ville huppée des Hauts-de-Seine, ancien fief du chef de l’Etat! Par conséquent, se débarrasser de Martinon, ce serait un camouflet pour le président! Et dire que le fils du président, Jean Sarkozy a confié à la presse: «on allait dans le mur... on a essayé de travailler loyalement, mais ce n’était pas possible».
Et si c’était bien l’assassinat politique de David Matignon qui, dit-on (pour la petite histoire...) fut très proche de Cécilia Sarkozy... (ah, ces affaires de famille!)


Famille ou cour royale? Pour Fran?ois Bayrou, qui observe la scène, «on est dans la cour» avec un fonctionnement «par graces et par disgraces»  (et nous qui croyions être en République!) Et, il ajoute: «autrefois on disait: il se passe tous les jours quelque chose aux Galeries Lafayette...  Là, il se passe tous les jours quelque chose Galeries élyséennes...». Il rajoute encore: «on est dans la cour. Comment ?a fonctionne la cour monarchique? Par graces et par disgraces. Vous êtes bien avec la personne qui a de l’influence sur le moment et on vous fait monter, et puis tout d’un coup voilà qu’arrive une nouvelle personne qui a de l’influence et on disgracie, on rejette dans les ténèbres extérieures tous ceux qui étaient hier les favoris».


Oui, dans la cour,converse basse, on s’inquiète! Le chef de l’Etat, qui conna?t déjà de grandes difficultés au niveau national avec une cote de popularité qui s’effondre, ne pourrait pas se permettre un échec sur ses terres, au risque que ce soit interprété comme une défaite personnelle. Si on est dans une pratique de cour, on peut valablement se demander si la décision du trio créateur d’une nouvelle liste n’a pas été prise avec l’aval du président? On pourrait être fixé dans les prochains jours...

Résultats - Logica profite de la force de l'outso

Avec un recul de son chiffre d'affaires limité à 3 % sur l'année à périmètre constant (à 4,1 Md€) Logica signe une année 2009 certes peu enthousiasmante, mais aussi relativement solide. La décroissance enregistrée par le Britannique reste ainsi légèrement inférieure à celle d'Atos-Origin ou à celle de Capgemini. Comme déjà signalé au cours de l'année,christian louboutin chaussures, la santé de la SSII doit beaucoup à sa branche outsourcing (37 % de l'ensemble de l'activité) qui progresse de 9 %, tandis que les activités plus cycliques de conseil et d'intégration accusent, elles, un recul de 10 %. La marge opérationnelle du groupe reste, elle, quasi-stable à 7,4 %. Autre facteur de "résistance" : la baisse de la Livre Sterling, monnaie dans laquelle Logica publie ses comptes annuels.

En France,mbt chaussures, la SSII termine l'année avec un chiffre d'affaires de 873 M€, soit une décroissance de 2 % sur un an. Ce qui témoigne d'une fin d'année assez dynamique. A l'automne la filiale connaissait une décroissance de 5 %. De facto, selon Logica, la France a retrouvé le chemin de la croissance en fin d'année, portée notamment par la signature du contrat ONP (Opérateur National de Paie). La marge, en léger recul, y atteint 7,jimmy choo sale,5 %. Fruit du rachat d'Unilog, l'implantation du groupe dans l'Hexagone - seconde géographie de Logica derrière les pays nordiques - est notamment portée par la progression de l'outsourcing, qui gagne 19 % par rapport à 2008.

En Grande-Bretagne, où Logica progresse de 6 % sur un an, l'activité est soutenue par le relatif dynamisme du secteur public, qui pèse plus de 60 % du total. Un risque pour la SSII, le gouvernement britannique ayant manifesté sa volonté de réduire ses dépenses IT. "Nous nous attendons à un ralentissement des prises de décision du secteur public britannique en 2010", reconnaît d'ailleurs Logica dans un communiqué. Avant d'ajouter : "Malgré les pressions des gouvernements européens pour réduire les dépenses, nous continuons à détecter des opportunités à moyen terme pour réduire les coûts via l'outsourcing".

Le groupe s'attend à une première moitié de 2010 toujours en décroissance,jimmy choo, mais à un exercice qui,manolo blahnik prix, au global, devrait afficher une stabilité par rapport à l'année écoulée. Fin 2009, Logica employait 38 800 personnes environ, 1 100 de moins qu'un an auparavant. "Ce recul est avant tout le résultat de nos actions pour réduire les effectifs non facturables", précise la société. En France, les effectifs se sont allégés de 250 personnes (à 8 880). Et 13 % des effectifs de la SSII sont désormais localisés dans des pays low cost.